L’incivilité des fantômes

Titre du roman : L’incivilité des fantômes

Écrit par : Rivers Solomon

Traduit par : Francis Guévremont

Nombre de pages : 508

Mon édition : J’ai lu

Genre : Science-Fiction

4ème de couverture :

Aster est une jeune femme que son caractère bien trempé expose à l’hostilité des autres. Son monde est dur et cruel. Pourtant, elle se bat, existe, et aide autant qu’elle le peut, avec son intelligence peu commune, ceux et celles qu’elle peut aider. Mais un jour, un type la prend en grippe. Et Aster comprend qu’elle ne peut plus raser les murs, et qu’il lui faut se tenir grande. Sa rébellion est d’autant plus spectaculaire qu’elle est noire, dans un vaisseau spatial qui emmène les derniers survivants de l’humanité vers un éventuel Eden, un vaisseau où les riches blancs ont réduit en esclavage les personnes de couleur. Un premier roman qui prend pour prétexte la science-fiction pour inventer un microcosme de l’Amérique, et de tous les maux qui la hantent, tels des fantômes.

Ce que j’en pense :

Je tiens tout d'abord à remercier les éditions J'ai lu et Babelio pour cette lecture.

Mon avis sur L'incivilité des fantômes est très mitigé. J'ai eu beaucoup de mal à le terminer. J'ai eu l'impression d'une lenteur et d'une lourdeur (surtout pendant la première moitié qui ne décollait pas à mon sens).

L'organisation de la société est décrite, mais c'est tellement brouillon et confus que je ne suis pas sûre de m'y être bien retrouvée. De même, certains passages plus pointus de mécanique ou de sciences m'ont complètement perdue, cassant le rythme de ma lecture.

Au final, je partais confiante en cette lecture, car le résumé est très intrigant... Mais plus ma lecture avançait plus j'allais de désillusion en désillusion. Ce livre aborde de nombreux thèmes importants mais il faut s’accrocher et c’est vraiment trop laborieux à lire. Clairement, ce n'était pas une lecture pour moi, même si l'histoire est intéressante et remplie de bonnes idées.

Appréciation globale : 
Je n’ai pas accroché

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