Seuls au monde, T1 - Lecture Commune Lady K & Chatplumer
Titre du roman : Seuls au monde, tome 1
Écrit par : Emmy Laybourne
Titre original et année de première publication : Monument 14, book 1 - 2012
Nombre de pages : 343
Mon édition : Le livre de poche
Genre : Science Fiction, Jeunesse
Dates de lecture : du 24 au 28 mai 2020
Pourquoi l'avoir choisi :
Comme tous les matins, Dean et son petit frère prennent le bus pour aller à l’école. Sauf que cette fois-ci, les choses dérapent totalement, la nature perd la tête, les catastrophes s’enchaînent, forçant le bus scolaire et ses occupants à trouver refuge dans un supermarché. Afin d’échapper aux émanations nocives qui empuantissent l’air, les enfants se calfeutrent tant bien que mal et commencent à organiser leur petite société.
Seuls au monde a été une excellente surprise. Je n’en attendais pas grand-chose, je dois l’avouer, cette lecture a donc été une agréable surprise. On s’attache au petit groupe que forment Dean et ses camarades. Livrés à eux-mêmes, sans adulte, sans information sur ce qu’il se passe à l’extérieur, ils doivent faire face, improviser et survivre. Cela provoque des frictions, des tensions – exacerbées par la situation peu commune.
Ce premier tome est captivant dès les premières pages. J’ai adoré voir les enfants s’organiser entre eux, chercher les compromis, voir les jeux de pouvoirs – oui, oui, même à cet âge-là – les désaccords et la solidarité (quand même !). Suivre ce petit groupe projeté en pleine apocalypse était prenant. On voit souvent des films ou des livres post-apocalypse… là ce qui change, c’est qu’on est en plein dedans. Personne ne sait ce qu’il se passe, ni ce que réserve l’avenir… mais tout le monde s’accroche.
En conclusion, une bonne surprise et une découverte que je ne regrette pas. Il me tarde de lire la suite pour découvrir ce que l’avenir réserve à Dean et ses compagnons d’infortune.
Écrit par : Emmy Laybourne
Titre original et année de première publication : Monument 14, book 1 - 2012
Nombre de pages : 343
Mon édition : Le livre de poche
Genre : Science Fiction, Jeunesse
Dates de lecture : du 24 au 28 mai 2020
4ème de couverture :
« Ta mère te crie que tu vas louper ton bus. Tu ne prends ni le temps de
la serrer dans tes bras ni de lui dire que tu l’aimes. Forcément… Tu
dévales juste l’escalier et tu sprintes jusqu’à l’arrêt de bus. Sauf
que, si c’est la toute dernière fois que tu dois voir ta mère, tu te
mets à regretter de ne pas avoir pris le temps. Y compris de ne pas
avoir raté le bus. Là, le mien arrivait, alors j’ai sprinté. » Dean
aurait vraiment dû dire au revoir à sa mère. Lui, son petit frère, ainsi
que tous les autres passagers des bus qui devaient les conduire, comme
tous les jours, à l’école. Mais comment auraient-ils pu deviner ce
jour-là qu’une catastrophe écologique les pousserait à se réfugier dans
un supermarché ? Au-dehors, le monde est en proie à des tempêtes qui
ravagent leur petite ville, des fuites de produits chimiques rendent les
gens violents ou paranoïaques… ou les tuent, tout simplement. Ils sont
quatorze, ils ont entre cinq et dix-sept ans, et ils doivent survivre et
garder espoir.
Pourquoi l'avoir choisi :
La consigne était : Lire un le livre qui est dans votre PAL depuis le plus longtemps.
Chat' > autant dire que pour trouver le livre le plus vieux de notre PAL commune n'a pas été le plus simple, mais nous avons réussi !
Lady K > Quel casse-tête =D
Chat' > autant dire que pour trouver le livre le plus vieux de notre PAL commune n'a pas été le plus simple, mais nous avons réussi !
Lady K > Quel casse-tête =D
Chatplumer
Ce que j’en pense :
Ce livre m'a été offert pour l'achat d'autres livres sur le site de la Fnac si je ne m'abuse et je ne l'ai pas choisi. Autant dire que je n'en attendais rien... et quelle bonne surprise !
Parce qu'il est jeunesse, il peut y avoir des facilités et des raccourcis, mais l'idée générale et la fluidité du récit nous font oublier ces quelques petites choses.
On se prend à échafauder des plans, à imaginer les problèmes que ces jeunes seraient amenés à affronter, comment ils peuvent s'organiser pour être ensemble et survivre ensemble et c'est très prenant.
Je n'ai pas pu m'empêcher de penser plus d'une fois au film "The Myst" (tiré d'un livre de Stephen King) qui présente un certain nombre de similitudes, surtout sur le côté "enfermés dans un magasin". Heureusement, celui-ci est plus léger !
J'aime beaucoup la fin ouverte, qui donne réellement envie d'aller lire la suite, ce que je ferai très probablement !
Appréciation globale : ⭐⭐⭐⭐🟊 - une très bonne surprise !
Lady K
Ce que j’en pense : Comme tous les matins, Dean et son petit frère prennent le bus pour aller à l’école. Sauf que cette fois-ci, les choses dérapent totalement, la nature perd la tête, les catastrophes s’enchaînent, forçant le bus scolaire et ses occupants à trouver refuge dans un supermarché. Afin d’échapper aux émanations nocives qui empuantissent l’air, les enfants se calfeutrent tant bien que mal et commencent à organiser leur petite société.
Seuls au monde a été une excellente surprise. Je n’en attendais pas grand-chose, je dois l’avouer, cette lecture a donc été une agréable surprise. On s’attache au petit groupe que forment Dean et ses camarades. Livrés à eux-mêmes, sans adulte, sans information sur ce qu’il se passe à l’extérieur, ils doivent faire face, improviser et survivre. Cela provoque des frictions, des tensions – exacerbées par la situation peu commune.
Ce premier tome est captivant dès les premières pages. J’ai adoré voir les enfants s’organiser entre eux, chercher les compromis, voir les jeux de pouvoirs – oui, oui, même à cet âge-là – les désaccords et la solidarité (quand même !). Suivre ce petit groupe projeté en pleine apocalypse était prenant. On voit souvent des films ou des livres post-apocalypse… là ce qui change, c’est qu’on est en plein dedans. Personne ne sait ce qu’il se passe, ni ce que réserve l’avenir… mais tout le monde s’accroche.
En conclusion, une bonne surprise et une découverte que je ne regrette pas. Il me tarde de lire la suite pour découvrir ce que l’avenir réserve à Dean et ses compagnons d’infortune.
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