L’espoir ne meurt jamais

Titre du roman : L’espoir ne meurt jamais

Écrit par : Tamara McKinley

Traduit par : Danièle Momont

Nombre de pages : 394

Mon édition : L’Archipel

Genre : Saga Familiale, Historique

4ème de couverture :

Angleterre, juin 1940. Le père de Rita, 17 ans, est parti au front. Celle-ci peut cependant compter sur le soutien des habitants de la petite bourgade côtière de Cliffehaven. Lorsque sa maison est détruite sous un bombardement, beaucoup croyaient que Rita flancherait. Pas du tout ! Elle est au contraire déterminée à participer à l'effort de guerre. Contrainte d'abandonner son rêve d'intégrer les Forces féminines de l'aviation, elle se porte volontaire au sein d'une unité de pompiers. Rita s'est fait une promesse : ne jamais perdre foi. Avec l'espoir d'un jour retrouver ceux qu'elle aime.


Ce que j’en pense :

Son père parti au front, la guerre qui s’intensifie, sa voisine Louise qui en attend toujours plus d’elle, sa maison qui vole en éclats… La vie ne fait pas de cadeaux à Rita. Pourtant, la jeune fille ne baisse pas les bras et fait face courageusement. Elle entend bien participer à l’effort de guerre, faire sa part à l’arrière tandis que les hommes se battent au front. Ce qui n’est pas forcément du goût de son entourage…

Je suis mitigée sur ce tome-ci. Tout d’abord, parce que la Pension du bord de mer et la famille Reilly sont reléguées à l’arrière-plan. Ce qui est dommage, car je les aime beaucoup. Mais surtout à cause de la relation toxique qu'il y a entre Louise et Rita. Je n’en dirai pas beaucoup plus pour ne rien dévoiler de l’intrigue, mais j’ai tellement détesté Louise que j’avais du mal à lire les passages où elle était présente. C’était viscéral.

Mon plaisir de lecture a été amoindri non pas à cause de l’intrigue – qui tient parfaitement la route et qui est intéressante à suivre – mais à cause d’un personnage tout à fait exécrable. C’est très bizarre, cela ne m’était jamais arrivé. En tout cas, pas à ce point ! On peut donc dire que l’autrice sait donner vie à ses personnages et les rendre affreusement réels !

En conclusion, c’est toujours un plaisir de retrouver la famille Reilly et les membres de la Pension. J’ai un petit peu moins accroché à ce tome-ci, justement parce qu’ils étaient moins présents… et à cause d’une sangsue des plus désagréables.

Appréciation globale : 
Mi-figue, mi-raisin

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