Le Petit Prince
Titre du roman : Le Petit Prince
Écrit par : Antoine de Saint-Exupéry
Illustré par : Antoine de Saint-Exupéry
Nombre de pages : 95
Mon édition : Gallimard
Genre : Conte philosophique
J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s'était cassé dans mon moteur. Et comme je n'avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, tout seul, une réparation difficile. C'était pour moi une question de vie ou de mort. J'avais à peine de l'eau à boire pour huit jours. Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m'a réveillé. Elle disait : ... " S'il vous plaît... dessine-moi un mouton ! "
- Hein!
- Dessine-moi un mouton...
J'ai sauté sur mes pieds comme si j'avais été frappé par la foudre. J'ai bien frotté mes yeux. J'ai bien regardé. Et j'ai vu un petit bonhomme tout à fait extraordinaire qui me considérait gravement.
Ce que j’en pense :
À la suite d’un incident technique le narrateur, un aviateur, a été obligé d’atterrir au milieu d’un désert. Perdu loin de tout, il est étonné d’y rencontrer un enfant : le Petit Prince. Très vite, il se prend d’affection pour lui et écoute avec intérêt son histoire.
Le Petit Prince est un conte philosophique. On y voit le monde des adultes à travers le regard innocent et dénué de malice d’un enfant. La critique sous-jacente est toujours d’actualité et très juste : les grands courent après le pouvoir et l’argent sans véritable but. Ils ne souhaitent pas avoir du pouvoir ou de l’argent pour accomplir quelque chose de plus grand. Bien souvent, aucune autre ambition ne se cache derrière. Et cette avidité pousse les adultes à garder le regard fixé au loin, sans voir qu’un bonheur plus simple est à portée de mains. Aucun jugement n’est porté par le narrateur, mais il est difficile de ne pas remarquer l’absurdité de nos priorités.
En conclusion, il m’aura fallu du temps mais j’ai enfin lu ce classique de la littérature jeunesse. Ce conte est intéressant mais je n’en ressors pas chamboulée ou époustouflée comme je m’y attendais.
Écrit par : Antoine de Saint-Exupéry
Illustré par : Antoine de Saint-Exupéry
Nombre de pages : 95
Mon édition : Gallimard
Genre : Conte philosophique
4ème de couverture :
J'ai ainsi vécu seul, sans personne avec qui parler véritablement, jusqu'à une panne dans le désert du Sahara, il y a six ans. Quelque chose s'était cassé dans mon moteur. Et comme je n'avais avec moi ni mécanicien, ni passagers, je me préparai à essayer de réussir, tout seul, une réparation difficile. C'était pour moi une question de vie ou de mort. J'avais à peine de l'eau à boire pour huit jours. Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m'a réveillé. Elle disait : ... " S'il vous plaît... dessine-moi un mouton ! "
- Hein!
- Dessine-moi un mouton...
J'ai sauté sur mes pieds comme si j'avais été frappé par la foudre. J'ai bien frotté mes yeux. J'ai bien regardé. Et j'ai vu un petit bonhomme tout à fait extraordinaire qui me considérait gravement.
Ce que j’en pense :
À la suite d’un incident technique le narrateur, un aviateur, a été obligé d’atterrir au milieu d’un désert. Perdu loin de tout, il est étonné d’y rencontrer un enfant : le Petit Prince. Très vite, il se prend d’affection pour lui et écoute avec intérêt son histoire.
Le Petit Prince est un conte philosophique. On y voit le monde des adultes à travers le regard innocent et dénué de malice d’un enfant. La critique sous-jacente est toujours d’actualité et très juste : les grands courent après le pouvoir et l’argent sans véritable but. Ils ne souhaitent pas avoir du pouvoir ou de l’argent pour accomplir quelque chose de plus grand. Bien souvent, aucune autre ambition ne se cache derrière. Et cette avidité pousse les adultes à garder le regard fixé au loin, sans voir qu’un bonheur plus simple est à portée de mains. Aucun jugement n’est porté par le narrateur, mais il est difficile de ne pas remarquer l’absurdité de nos priorités.
En conclusion, il m’aura fallu du temps mais j’ai enfin lu ce classique de la littérature jeunesse. Ce conte est intéressant mais je n’en ressors pas chamboulée ou époustouflée comme je m’y attendais.
Appréciation globale :
Intéressant et qui pousse à la réflexion |
Je l'ai lu il y a longtemps, il faudrait que je le relise un jour car il ne m'a pas marqué alors, peut-être suis-je passée à côté de quelque chose à l'époque ? ....
RépondreSupprimerBon dimanche !
C'est vrai qu'en le lisant, je me demandais comment des jeunes lecteurs pouvaient s'y retrouver... Après, je pense que c'est un livre qu'on peut relire plusieurs fois à différents moments de notre vie et le comprendre différemment...
SupprimerBon dimanche à toi aussi ♥