L’été des lucioles
Titre du roman : L’été des lucioles
Auteur : Gilles Paris
Nombre de pages : 222
Mon édition : Héloïse d’Ormesson
Genre : Contemporain
Ce que j’en pense :
Gilles Paris m’enlève ici les mots de la bouche… c’est comme s’il pouvait prévoir. Car en effet, si je devais définir son roman en quelques mots, je dirai qu’il est profondément humain, tendre et passionnant.
On suit Victor, petit homme de neuf ans, qui nous raconte les aventures extraordinaires qu’il a vécues à Cap-Martin, en compagnie de son meilleur ami Gaspard et de la jolie Justine. Cette fois-ci, l’ambiance du roman est plus joyeuse, le sujet est plus léger que dans les précédents romans de Gilles Paris. Ce roman est plus axé sur l’apprentissage de la vie, la découverte de soi… On voit Victor grandir petit à petit. Je l’ai trouvé très mûr et perspicace pour son âge et surtout très attendrissant.
En conclusion, ce livre a tant de qualités que la fan d’Harry Potter que je suis pardonne aisément à l'auteur d’écrire plusieurs fois Voldemort sans t ! C’est un roman touchant, prenant, tendre. Un roman qui fait beaucoup de bien et que je conseille à tout le monde sans hésiter.
Des extraits pour la route :
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Auteur : Gilles Paris
Nombre de pages : 222
Mon édition : Héloïse d’Ormesson
Genre : Contemporain
4ème de couverture :
Du haut de ses neuf ans, Victor a quelques certitudes : c’est parce que François, son père, n’ouvre pas son courrier qui s’amoncelle dans un placard que ses parents ne vivent plus ensemble ; c’est parce que Claire et Pilar adorent regarder des mélos tout en mangeant du pop-corn qu’elles sont heureuses ensemble. Et c’est parce que les adultes n’aiment pas descendre les poubelles au local peint en vert qu’il a rencontré son meilleur ami Gaspard.
Les vacances au Cap-Martin, cet été-là, seront pour Victor et son copain Gaspard l’occasion de partir à l’aventure sur l’étroit chemin des douaniers qui surplombe la côte. En guidant les garçons jusqu’aux passages secrets menant aux somptueuses villas, papillons, baronne et jumeaux feront bien plus que leur ouvrir la porte des jardins enchantés.
Un voyage au pays de l’enfance qui déborde d’émotion et de tendresse.
Du haut de ses neuf ans, Victor a quelques certitudes : c’est parce que François, son père, n’ouvre pas son courrier qui s’amoncelle dans un placard que ses parents ne vivent plus ensemble ; c’est parce que Claire et Pilar adorent regarder des mélos tout en mangeant du pop-corn qu’elles sont heureuses ensemble. Et c’est parce que les adultes n’aiment pas descendre les poubelles au local peint en vert qu’il a rencontré son meilleur ami Gaspard.
Les vacances au Cap-Martin, cet été-là, seront pour Victor et son copain Gaspard l’occasion de partir à l’aventure sur l’étroit chemin des douaniers qui surplombe la côte. En guidant les garçons jusqu’aux passages secrets menant aux somptueuses villas, papillons, baronne et jumeaux feront bien plus que leur ouvrir la porte des jardins enchantés.
Un voyage au pays de l’enfance qui déborde d’émotion et de tendresse.
Ce que j’en pense :
Maman tient aussi un blog où elle raconte l’histoire des livres, avec le prix, le nombre de pages et un mot pour le définir. C’est souvent « humain » ou « passionnant ». (p.12)
Un premier roman d’un auteur de cinquante ans. Moi, je trouve qu’il en a mis du temps à l’écrire. (p. 44)
Ce que j’ai adoré par-dessus tout dans ce roman, c’est l’écriture de l’auteur. Ce dernier est un véritable virtuose des mots. On sent le travail qu’il y a derrière chaque phrase et chaque mot est pesé. C’est un délice à lire… et certains extraits sont si justes, si beaux, si poétiques, qu’ils vous mettent K.O. . Prévoyez un petit carnet à portée de mains histoire de tout noter, ou à défaut, un bloc de post-it !On s’embrasse sur les joues et je retiens son baiser sur moi comme deux papillons doux aux lèvres roses. (p. 118)
Maman et papa appellent ça des beaux-livres. C’est à se demander si tous les autres sont moches. (p.46)
Appréciation globale :
Pas loin du coup de cœur |
[Pendant qu’elle lit] Elle vit toutes ces vies comme les siennes, traversant les siècles et les pays, en suivant des yeux cette encre noire qui fait battre son cœur et parfois la fait sangloter. (p. 114)
L’émotion est comme un ascenseur qui n’arrête pas de monter. Il n’y a que les larmes pour le faire redescendre. (p. 114)
Ton père refuse de grandir, il ne payait jamais les factures, laissait les huissiers prendre nos meubles et il me regardait avec ses yeux de chiot en jurant sur vos têtes qu’il allait changer. Et je suis sûre qu’il le pensait sincèrement à ce moment-là. Mais c’est plus fort que lui, il continuait d’entasser des enveloppes fermées qu’il n’ouvrait jamais, dans un grand sac caché au fond d’un placard. Si je l’avais écouté, vous n’auriez plus de têtes depuis longtemps. (p. 15-16)
Challenge "Comme à l'école" |
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& Enjoy
Ce n'est pas trop mon genre, malgré ton avis plus que positif je ne pense pas le lire :/
RépondreSupprimerCe n'est pas non plus mon genre d'habitude, mais cet auteur est vraiment magique et touchant ! Personnellement j'adore ! ^^
SupprimerDécidément, je n'en lis que du bien ! J'ai de plus en plus envie de découvrir cet auteur.
RépondreSupprimerJe n'aime pas trop ce genre habituellement ( je suis plus littérature de l'imaginaire ) mais cet auteur est magique. C'est un délice de le lire ! Un vrai bonheur !
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