La dernière Reine
Titre du roman : La dernière Reine
Écrit par : Philippa Gregory
Traduit par : Alain Sainte-Marie
Nombre de pages : 630
Mon édition : France Loisirs
Genre : Historique
1543. Courtisée avec empressement par Henri VIII, la belle et jeune Catherine Parr, dissimulant son dégoût, accepte d’épouser le souverain sanguinaire. D’abord portée aux nues, Catherine sent bientôt le piège mortel de la cour se refermer sur elle. La farouche protestante sera-t-elle victime de la volonté royale de revenir à la religion catholique romaine ?
Ce que j’en pense :
Écrit par : Philippa Gregory
Traduit par : Alain Sainte-Marie
Nombre de pages : 630
Mon édition : France Loisirs
Genre : Historique
4ème de couverture :
1543. Courtisée avec empressement par Henri VIII, la belle et jeune Catherine Parr, dissimulant son dégoût, accepte d’épouser le souverain sanguinaire. D’abord portée aux nues, Catherine sent bientôt le piège mortel de la cour se refermer sur elle. La farouche protestante sera-t-elle victime de la volonté royale de revenir à la religion catholique romaine ?
Ce que j’en pense :
À la suite de son deuxième veuvage, la jolie Catherine Parr pense être enfin libre de toute entrave et souhaite se remarier avec Thomas Seymour, le bel apollon qui fait battre son cœur et vibrer son corps. Malheureusement pour elle, son joli minois a attiré l’attention d’Henri VIII qui lui demande sa main sans tarder. Obligée d’accepter ce mariage qui la dégoûte au plus haut point, elle fait contre mauvaise fortune bon cœur, se lançant corps et âme dans cette union qui lui a été imposée.
Si les débuts sont plutôt heureux, voire même étonnamment doux, les choses se gâtent assez rapidement. Le souverain, rendu irascible par une vieille blessure qui refuse de guérir, a des sautes d’humeur très fréquentes, ordonnant tout et son contraire dans la même journée. Dans ces conditions, le moindre faux-pas peut être fatal. Même voire – quand on connaît le passif d’Henri VIII – surtout pour la Reine. Ces quatre années de mariage sont éprouvantes et semées d’embûches, de complots et de manipulations… mais heureusement, Catherine est une femme intelligente, forte et entourée d’amis fidèles.
Avec ce roman, je n’étais pas une simple lectrice-spectatrice ; au contraire, j’ai eu l’impression de vivre l’Histoire, de plonger la tête la première dans les intrigues de la cour d’Henri VIII. Philippa Gregory est une conteuse hors pair. Sous sa plume, les personnages deviennent réels, ils semblent prendre vie sous nos yeux. J’ai vibré pour Catherine, j’ai pleuré pour elle et mon ventre se tordait d’appréhension lorsque son avenir était menacé (alors même que je connaissais déjà le dénouement…). Les épreuves qu’elle a traversées m’ont captivée du début à la fin. Bien que La dernière Reine fasse plus de 600 pages, cette jolie brique se dévore en un rien de temps car le récit est prenant et bien écrit.
En conclusion, bien que de façon romancée, La dernière Reine raconte comment Catherine Parr a réussi l’exploit de survivre au sanguinaire Henri VIII. Le récit est passionnant, l’intrigue ne connaît aucun temps mort et le style de l’autrice est plus qu’efficace. Un roman que je recommande chaudement. Cette lecture a été un vrai coup de cœur.
Appréciation globale :
& Enjoy
Oh super ça !
RépondreSupprimerCoucou :)
RépondreSupprimerAlors là, c'est sûr, il file directement sur ma wish-list !
Déjà, je trouve la couverture très jolie (commentaire superficiel au possible) mais surtout c'est le contexte historique qui m'intéresse bien.
Très jolie chronique en tout cas ;)
Je n'aime pas trop les romans historiques en général mais j'aime beaucoup les Tudors et ton avis est plus que tentant !!
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