Mamie cherche les embrouilles
Titre du roman : Mamie cherche les embrouilles
Auteur : Marco Giordano
Traduit par : Françoise Fauchet
Nombre de pages : 317
Mon édition : City Editions
Genre : Policier
Ce que j’en pense :
Un petit extrait :
Auteur : Marco Giordano
Traduit par : Françoise Fauchet
Nombre de pages : 317
Mon édition : City Editions
Genre : Policier
4ème de couverture :
A tout juste 60 ans, mamie Poldi est fatiguée : tout ce qu’elle veut, c’est aller quelque part au soleil pour terminer sa vie. Donc, direction la Sicile, la terre natale de Peppe, son défunt mari. Là, le soleil brille, la nourriture et les vins sont délicieux et sa belle-famille respire la joie de vivre. Difficile de se résigner à mourir… Quand Valentino son jeune jardinier est assassiné, Mamie Poldi décide de démasquer le meurtrier. Elle se lance dans une folle enquête où elle croise des membres de la Mafia, l’excentrique descendante d’une famille d’aristocrates français et une foule de personnages plus ou moins recommandables… Et, malgré les intimidations, pas question de renoncer. Même quand le beau commissaire Montana se montre très contrarié de la voir fourrer son nez partout où elle ne devrait pas…
La première enquête de Mamie Poldi, une enquêtrice de choc délurée : irrésistible !
A tout juste 60 ans, mamie Poldi est fatiguée : tout ce qu’elle veut, c’est aller quelque part au soleil pour terminer sa vie. Donc, direction la Sicile, la terre natale de Peppe, son défunt mari. Là, le soleil brille, la nourriture et les vins sont délicieux et sa belle-famille respire la joie de vivre. Difficile de se résigner à mourir… Quand Valentino son jeune jardinier est assassiné, Mamie Poldi décide de démasquer le meurtrier. Elle se lance dans une folle enquête où elle croise des membres de la Mafia, l’excentrique descendante d’une famille d’aristocrates français et une foule de personnages plus ou moins recommandables… Et, malgré les intimidations, pas question de renoncer. Même quand le beau commissaire Montana se montre très contrarié de la voir fourrer son nez partout où elle ne devrait pas…
La première enquête de Mamie Poldi, une enquêtrice de choc délurée : irrésistible !
Ce que j’en pense :
Poldi, veuve sexagénaire pas comme les autres, décide de partir vivre en Sicile, auprès de sa belle-famille, afin de finir sa vie au soleil. Tout est bien dans le meilleur des mondes – ou presque – jusqu’à ce que Valentino, son homme à tout faire, disparaisse… et qu’elle retrouve son corps sans vie quelques jours plus tard. Poldi décide alors d’enquêter sur ce meurtre et de l’élucider, pour honorer la mémoire du jeune homme. Malgré tous les obstacles mis sur sa route et les dangers, elle ne va pas renoncer et continuer, coûte que coûte, pour découvrir la vérité et que justice soit faite.
Ce livre sent bon la Sicile, le soleil… C’est très agréable, on a tout simplement l’impression d’y être. On part ainsi à la découverte de cette île et de ses habitants, on apprend à les connaître et à passer outre les clichés et les à priori. De plus, l’intrigue tient la route. L’enquête est bien menée, elle est pleine de rebondissements et de péripéties. Il est ainsi difficile de deviner à l’avance le fin mot de l’histoire, tant il y a de pistes à explorer !
Toutefois, si l’intrigue est plaisante, je n’ai pas réussi à accrocher aux personnages. Impossible de m’y attacher ou de m’identifier à eux. Surtout à Poldi… Elle m’a agacée plus qu’autre chose. Je l’ai trouvée trop grossière, excentrique et dépravée… Il est d’ailleurs dommage que ses désirs et fantasmes sexuels prennent trop de place dans le récit, volant bien souvent la vedette à l’enquête…
Autre point négatif, la narration. L’enquête est racontée par le neveu de Poldi, il transcrit ce que cette dernière lui conte. En soit, rien de gênant, si ce n’est qu’il y a de trop nombreux retours entre le passé (l’enquête) et le présent (le moment où l’histoire est racontée par Poldi à son neveu). C’est déstabilisant et cause une certaine confusion. D’autant plus que ces retours au présent sont l’occasion de nombreuses digressions personnelles qui sont peu utiles ou peu intéressantes, lorsque comme moi les personnages nous laissent totalement indifférents.
En conclusion, ce roman offre une enquête bien ficelée, dans un contexte intéressant et bien décrit. Toutefois, les personnages n’ont rien d’attachant ou de touchant, au contraire. De plus, la confusion causée par l’alternance entre passé et présent est désagréable.
Ce livre sent bon la Sicile, le soleil… C’est très agréable, on a tout simplement l’impression d’y être. On part ainsi à la découverte de cette île et de ses habitants, on apprend à les connaître et à passer outre les clichés et les à priori. De plus, l’intrigue tient la route. L’enquête est bien menée, elle est pleine de rebondissements et de péripéties. Il est ainsi difficile de deviner à l’avance le fin mot de l’histoire, tant il y a de pistes à explorer !
Toutefois, si l’intrigue est plaisante, je n’ai pas réussi à accrocher aux personnages. Impossible de m’y attacher ou de m’identifier à eux. Surtout à Poldi… Elle m’a agacée plus qu’autre chose. Je l’ai trouvée trop grossière, excentrique et dépravée… Il est d’ailleurs dommage que ses désirs et fantasmes sexuels prennent trop de place dans le récit, volant bien souvent la vedette à l’enquête…
Autre point négatif, la narration. L’enquête est racontée par le neveu de Poldi, il transcrit ce que cette dernière lui conte. En soit, rien de gênant, si ce n’est qu’il y a de trop nombreux retours entre le passé (l’enquête) et le présent (le moment où l’histoire est racontée par Poldi à son neveu). C’est déstabilisant et cause une certaine confusion. D’autant plus que ces retours au présent sont l’occasion de nombreuses digressions personnelles qui sont peu utiles ou peu intéressantes, lorsque comme moi les personnages nous laissent totalement indifférents.
En conclusion, ce roman offre une enquête bien ficelée, dans un contexte intéressant et bien décrit. Toutefois, les personnages n’ont rien d’attachant ou de touchant, au contraire. De plus, la confusion causée par l’alternance entre passé et présent est désagréable.
Merci à Babelio et aux éditions City pour cette lecture.
Appréciation globale :
Du bon et du moins bon |
C’est magique, une liste. Ça améliore la vie. L’essayer, c’est l’adopter. De temps en temps, on coche, on biffe, mais jamais on n’en a terminé. Une liste n’est jamais complète, note-le. Une chose en entraînant une autre – hop ! On se retrouve à inscrire des choses auxquelles on n’avait jamais pensé avant. […] Le seul fait d’être écrits noir sur blanc, sur un morceau de papier ou une serviette, les mots déclenchent des rouages. Les listes sont les mécaniciens du subconscient. (p.202)
Bon, je pense passer mon tour pour ce roman, les points négatifs que tu soulèves surtout au niveau des personnages me rebute :/
RépondreSupprimerEt je ne peux pas démentir... même si l'enquête est bien, c'est un peu long quand on n'apprécie pas particulièrement les personnages ! Après, beaucoup de lecteurs l'ont aimé cette Poldi... mais avec moi ce n'est pas passé !
SupprimerC'est marrant, mais quand tu aimes bof bof un livre du genre, moi, je suis super curieuse de le découvrir xD
RépondreSupprimerEt puis, le titre est trop drôle pour passer à côté xD
Mouarf, tout ça par esprit de contradiction :P Le titre est bien trouvé et c'est ce qui m'a attirée, il faut bien l'avouer... mais un peu déçue par le contenu du coup ^^
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