Noblesse Oblige, tome 3 – Le Comte mis à Nu
Titre du roman : Noblesse Oblige, tome 3 – Le Comte mis à Nu
Auteur : Sally MacKenzie
Traduit par : Jean-Baptiste Bernet
Nombre de pages : 358
Mon édition : Milady Romance (Pemberley)
Genre : Romance historique
Ce que j’en pense :
Auteur : Sally MacKenzie
Traduit par : Jean-Baptiste Bernet
Nombre de pages : 358
Mon édition : Milady Romance (Pemberley)
Genre : Romance historique
4ème de couverture :
L’habit ne fait pas le comte.
Fuyant une détestable mégère qui voudrait le forcer à l’épouser, Robert Hamilton, comte de Westbrooke, est bien content de trouver une fenêtre ouverte par laquelle se glisser. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il se retrouve face à la jeune sœur d’un de ses amis, la très belle lady Elizabeth, nue comme un ver et légèrement pompette.
Si quelqu’un venait à les surprendre, il lui faudrait demander la main de la jeune femme pour sauver son honneur.
Voilà une idée bien tentante. Malheureusement, la situation n’est pas si simple, et les embûches sont multiples…
L’habit ne fait pas le comte.
Fuyant une détestable mégère qui voudrait le forcer à l’épouser, Robert Hamilton, comte de Westbrooke, est bien content de trouver une fenêtre ouverte par laquelle se glisser. Quelle n’est pas sa surprise lorsqu’il se retrouve face à la jeune sœur d’un de ses amis, la très belle lady Elizabeth, nue comme un ver et légèrement pompette.
Si quelqu’un venait à les surprendre, il lui faudrait demander la main de la jeune femme pour sauver son honneur.
Voilà une idée bien tentante. Malheureusement, la situation n’est pas si simple, et les embûches sont multiples…
Ce que j’en pense :
Le comte Robert Hamilton est obligé de fuir par la fenêtre de sa chambre, dans le plus simple appareil, lorsqu’il est réveillé par les cris d’une jeune fille dénudée, couchée à ses côtés… En effet, cette dernière met tout en œuvre pour le forcer à l’épouser, et cette fois-ci son plan a bien failli réussir. S’étant échappé avec succès, il se croyait sorti d’affaire. Jusqu’à ce qu’il atterrisse – nu comme un ver, dois-je le rappeler ? – dans la chambre d’Elizabeth, la sœur de son ami le duc d’Alvord. Une situation déjà assez embarrassante en soi… mais qui l’est encore plus sachant que la jeune fille en question est elle aussi totalement nue et fait même d’inconvenantes avances au Comte…
Cette scène d’ouverture est tout simplement délicieuse à lire. Le pauvre Comte échappe aux griffes d’une féroce coureuse de dot… pour se retrouver dans une situation bien plus embarrassante. Il est bien tenté par les propositions d’Elizabeth mais il ne peut pas trahir ainsi son plus vieil ami. Tiraillé par le conflit qui oppose son cœur et sa raison, il ne sait plus quoi faire…
Ce qui est très appréciable dans ce troisième tome, c’est que le schéma narratif change enfin ! Cette fois, c’est Elizabeth qui poursuit de ses assiduités le Comte. Et c’est ce dernier qui fait sa mijaurée – pour des raisons que l’on peut toutefois comprendre. Cet inversement des rôles est rafraichissant et renouvelle un peu la série. D’autant plus que, le jeu du chat et de la souris entre Robert et Elizabeth est très bien mené. Ils se cherchent sans vraiment se trouver et doivent également faire face à l’hostilité de certains aristocrates.
Par contre, les héroïnes de Sally MacKenzie sont toujours aussi cruches et idiotes. A ce niveau-là, ce n’est plus de la naïveté ou de l’innocence, c’est de la bêtise et de l’inconscience. Certes, Elizabeth ne connait rien aux choses de l’amour et n’a aucune expérience dans le domaine. Mais tout de même, elle pourrait utiliser son bon sens. Je ne peux pas en dire beaucoup plus sans dévoiler toute l’intrigue, mais le complot dont elle fait l’objet aurait pu être facilement déjoué si elle avait branché son cerveau ! Alors, certes, cela rajoute de l’action et du piment à l’intrigue, mais qu’est-ce que c’est énervant de suivre une héroïne si bête !
En conclusion, une intrigue qui se renouvelle par rapport aux deux tomes précédents. Un récit plaisant à lire et des personnages intéressants à suivre. Toutefois, dommage que l’héroïne soit exaspérante et bête comme ses pieds.
Appréciation globale :
Une série qui se renouvelle mais une héroïne-boulet |
Ah je ne suis pas fan des héroines boulet donc je vais passer mon tour !
RépondreSupprimerAh ça, celle-là elle en tient une bonne dans le genre !!
SupprimerMais en fait, tu les as grave enchaînés Oo
RépondreSupprimerOuais, c'est pour ça que j'ai fait une petite pause histoire de ne pas saturer !
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